Le Groupe des Sept (G7) est un forum regroupant sept économies hautement industrialisées : le Canada, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Japon, le Royaume-Uni et les États-Unis. Son objectif est de coordonner les finances, l’économie, l’emploi, la sécurité, la politique commerciale et de nombreux autres domaines.
« Chacun des points abordés touche au digital. L’économie d’aujourd’hui repose en partie sur le numérique et la finance est pieds et poings liés à la technologie. C’est ce que l’on appelle la FinTech. La transformation numérique a de nombreux impacts que ce soit sur la manière dont les systèmes s’organisent, sur les Hommes, sur les techniques et technologies et enfin sur les stratégies d’entreprises.
Plus un Internet est en haut débit, plus il est déployé et utilisé. Une étude révèle qu’une croissance de 1% de l’utilisation du digital génère une croissance de 0,13% à 0,26% du PIB. La 5G, même si elle est critiquée par de nombreux aspects, semble donc la réponse. » Extrait de comparateurbanque.com
Cette organisation est impliqué depuis de nombreuses années dans l’axe de travail du G7 sur l’emploi et l’éducation. Il collabore avec les ministres du Travail du G7 et d’autres acteurs pour s’adresser aux dirigeants du G7. Le BIE coordonne également la participation avec les syndicats au processus du G7.
Le BIE s’efforce de tirer pleinement parti des possibilités offertes par la collaboration des pays du G7 pour promouvoir l’emploi, la croissance, la création de richesses et le développement durable. Les principales priorités du BIE sont les suivantes : favoriser un environnement favorable aux entreprises ; promouvoir l’esprit d’entreprise et l’innovation ; faciliter diverses formes d’emploi ; renforcer l’emploi non discriminatoire entre hommes et femmes ; promouvoir les compétences et l’apprentissage tout au long de la vie ; et faciliter la migration professionnelle en fonction des besoins du marché du travail. En tant qu’organisation internationale représentant les employeurs, le BIE donne également la parole aux entreprises qui ne font pas partie du G7, assurant ainsi une plus grande inclusion du G7.